La journée des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis destinées à son bureau, il traçait d’un acte clair les idéogrammes sur le carton de riz, donnant l’encre s’imprégner dans la fibre élégante. Depuis 60 jours, une évènement étrange hantait son boulot : tout matin, tandis que individu n’était entr
L’aube perçait à bien cliché l’horizon que l’adolescent relisait, à l'éclairage vacillante d’une lampe à bien huile, les transcriptions griffonnées la nuit précédente. Chaque syllabe conservait l’étrangeté du gaélique ancien, chaque ton portait en lui le poids d’un intelligence ancien, et pourtant il y percevait dès mainten
L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient larme à peu, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs versification l’attendaient,
Elle rouvrit son carnet, où les motifs avaient évolué en son congés. Les lignes dorées s’étaient entrelacées pour former une figure en expansion, individu à une plante dont les fleurs continuaient de croître indéfiniment. Au centre de cette figure, une autre phrase lumineuse brillait mollement : ' Chaque réflexion est une porte. La voy